Andy | 
5 février 2016 | 
Le Parlement européen a imposé en date du 31 janvier 2008 la norme « maison passive » qui devrait concerner l’ensemble des bâtiments neufs. De son côté, le Grenelle de l’Environnement tendait à rendre obligatoire la norme. Ils ont prévu qu’en 2020 toutes les nouvelles constructions seraient passives et que dès 2010 elles seraient comptées en un tiers. En revanche, cette conjecture est loin d’être la réalité. Mais pourquoi donc ? Explications…
Une construction difficile en ville
Il est avéré que l’habitat passif présente des intérêts indéniables : la diminution du facteur d’énergie jusqu’à 80 % en comparaison à une construction traditionnelle. L’idée est donc de passer à côté du système de chauffage classique et de climatisation. Cependant, l’avenir d’une maison solaire passive demeure incertain. Surtout en ville, parce que dans l’atmosphère urbaine de haute densité, les gratte-ciels avoisinants se présentent comme un obstacle dans l’utilisation du chauffage par énergie solaire. Du moins malgré cette difficulté de construire une maison passive en ville, à défaut d’opérer au sens strict, il reste possible de renforcer l’efficacité énergétique de sa demeure ou bien de devenir propriétaire d’une villa à vendre Arles écologique, passive et bien située, écopant du soleil aux fins de chauffage.
Contraintes du système solaire passif
Dans l’habitat passif, le vitrage est orienté au Sud, cela signifie que les pièces qui sont centralisées vers le nord sont peu éclairées. La construction du bâtiment passif doit se faire en faveur des contraintes du système solaire passif, idem pour la végétation. Les règles sont fixes : l’orientation au sud, les arbres feuillus et non-conifères au Sud, le bâtiment doit adopter une forme spécifique. Autrement dit, il est nécessaire de bien répartir les pièces et de limiter le problème d’orientation vers le Sud grâce à une bonne architecture d’intérieur. Des problèmes de surchauffe sont assez courants, surtout en printemps et en automne c’est-à-dire en période d’équinoxe. Pour n’engendrer encore plus d’inefficacité notable, la mise en place de fenêtres ayant une bonne qualité thermique est conseillée.
Une construction couteuse
En comparaison avec une maison traditionnelle, le prix de construction d’une maison passive est relativement supérieur d’environ 10 à 20 %, soit vers 1 500 euros le mètre carré. Néanmoins, le prix varie en fonction des matériaux et équipements utilisés. Les matériaux écologiques sont pour ainsi dire plus chers. Par contre, il existe une solution pour habiter dans un logement passif. Dans le cas où acheter un terrain à vendre Arles et y bâtir sa maison écologique à titre onéreux d’une fortune ne semble être une bonne idée, pourquoi ne pas acheter tout simplement une villa à vendre Arles pas cher, puis d’améliorer sa performance énergétique. Il est existe des aides « maison passive » dans chaque région, département et commune. Grâce à ces aides, il est possible d’entreprendre des travaux d’amélioration de la performance énergétique de sa maison. Pour ce faire, il vaut mieux se renseigner en Mairie.
Investir ou non dans la maison passive ?
En terme de logement passif, la demande est supérieure à l’offre, loin de ce que le Grenelle de l’Environnement a prévu. Ce n’est pas parce que les investisseurs préfèrent la construction classique qu’ils sont réticents à l’idée de financer un programme passif, mais surtout parce qu’ils ont du mal à trouver un terrain d’entente entre le prix et l’emplacement et un artisan qualifié capable de réaliser une maison passive taillée sur mesure. C’est pourquoi le meilleur serait d’acquérir une villa à vendre Arles, dans une ville destinée à écoper le solaire passif. À noter que pour la maison passive: les atouts et les revers sont indéniables, mais l’important c’est de s’assurer que sa construction ou son acquisition soit rentable.